Pour Rouges, les collines de Caracas, l’auteur a choisi de laisser à son héroïne (Gaya) le soin de nous conter elle-même ses (més) aventures dans la « Petite Venise » qui, de 1999 à 2013, a confié son destin à un président adulé ou honni : Hugo Chávez.
Résolument inscrit dans un épisode précis de l’histoire récente du Venezuela, ce livre est à la fois un polar, un « romanquête » et un récit d’aventures, d’espionnage, de violence et de suspense.
Ce que vous y allez découvrir (manipulations, agressions, disparitions, assassinats, coups de feu, explosions, actes d’héroïsme, enfumages médiatiques, complots, coups d’État, attentats, émeute, intervention de services secrets, ombre de la CIA, tueurs à gage, poètes et poésies, trahisons, amitiés, idylle internationale et amour d’un enfant pour sa maman trop souvent absente) est le fruit hybride de la fiction et de la réalité. Du « mentir-vrai » couleur sang.
Maxime Vivas, ancien référent littéraire d’Attac, a été postier en centre de tri à Paris avant de devenir ergonome. Il a écrit 17 livres (dont deux ont été primés) et des nouvelles pour une douzaine de recueils collectifs. Il est traduit en espagnol, allemand, italien, chinois (mandarin et tibétain) et en anglais. Ses éditeurs sont en France, Belgique, Italie, Chine, Venezuela, Cuba et aux USA.
Maxime Vivas, Rouges, les collines de Caracas, aux éditions Arcane 17, Paris, Octobre 2015, 270 pages, 22 euros.
Parution 1er octobre 2015. Présenté en avant première à la Fête de l’Humanité 2015 et disponible en pré-commande sur le site : www.editions-arcane17.net